Un homme tranquille 1
Une nouvelle aventure se profile.
Il ouvrit sa porte, passe légèrement le pas de celle-ci, deux coups de feu, Jef s’écroule sur le palier.
Les détonations avaient résonné dans la cage d’escalier. Peu de réactions, c’était le début de l’été, des départs en vacances et les autres en chemin ou sur leur lieu de travail. Il restait peu de gens dans l’immeuble.
Sans doute celui qui fit cette besogne, le savait-il, repérer les lieux, les habitudes, une chose est sûr, Jef n’était plus et le tueur, ou la tueuse était déjà bien loin quand les flics arriveront !
Jef, ses amis, ses collègues de bureau, le surnommaient ainsi à cause de son prénom peu commun, Jean-Fabrice. Il était considéré comme un jeune homme tranquille, sans tapage, discret.
Un couple, d’un âge déjà bien avancé, habitant l’étage supérieur, descendit l’escalier avec toute l’habileté due à leur condition. La femme était à deux doigts de défaillir, c’est qu’il le connaissait bien le Jef, l’homme tâta le pouls.
- Il est mort ! Il faut appeler la police.
Le couple regagna leur appartement avec la même lenteur qui impose aucune prise de risques pour eux.
La sirène deux tons retenti au coin de la rue, rue qui assez large et aux bâtiments cossus de style Haussmannien et des années trente pour certains, seul celui qui faisait l’angle avec le boulevard est une construction de béton et de verre, il fait penser à une villégiature de front de mer. Le claquement des portières signalait qu’il était arrêté et que ses occupants en sortaient, un lieutenant de police et un brigadier prirent l’ascenseur jusqu’à l’étage où était allongé le corps de Jef. Le lieutenant prit son portable et demanda à la criminelle des renforts et de faire venir les scientifiques.
Tout ce petit monde était là et commençait bien des palabres inutiles. Le brigadier et Marco Petitête avaient attendu patiemment leur arrivée. Ils avaient balisé le secteur de façon que personne ne passe ici, pas de crainte de ce côté-là, hormis le couple de petit vieux de l’étage supérieur, l’immeuble est bien vide de ses occupants, il y a bien la jeune fille du 7e étage, mais elle est partie faire les magasins, elle reviendra d’un instant à l’autre, mais quand ? De toute façon la question ne se pose pas, l’ascenseur est tout indiqué pour son paradis !
vous avez publié…177
Tout calfeutrer pour garder un semblant de fraîcheur dans l'appartement. Le pire est a venir pour la deuxième moitié de semaine prochaine!
Pendant ce temps... vous avez publié.
Guytou... collector suite.
LNO... tous à Brussels!
Lady... l'effet Peter Pan!
LNO... mieux que David Guetta!
Guytou... Au Stade de France en 2010
La chaîne d'ancre ne vaut que par le plus faible de ses maillons.
Dictons marins.
Un détail négligé peut provoquer des gros dégâts, le sens de ce dicton.
Petit jeu de lettres Lady 17
Lady reprend le jeu de lettres.
Lady donne le jeu le lundi et vous publiez le dimanche
Vous n'avez pas oublié le principe du jeu ?
Avec les lettres proposées, faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix ou, pour corser, faire le texte en rapport avec le mot trouvé.
Merci de déposer votre lien d'article sous cet article
celles et ceux qui ne font pas de texte trouver le plus de mots possible, pas moins de 5 lettres,
pensez –anagramme.
Je vous propose 10 LETTRES
A A E E V D M N Q U
substantif féminin ancien terme de banque ( Littré 1880 ) n'est plus utilisé , diminution du fond d'une caisse
Le mot est
VADEMANQUE.
Les mots sont.
Quémanda, Quémande,
Advenue, Amandée, Manquée, Avenue,
Demeura, Neveu, Vaqua, Venue, Vendu, Mauve,
Emue, Eue, Mua, Van, etc.
Cinq rangées d’aventurine autour du cou et pendants sur sa poitrine, l’Arétine et son homme, revenu de Venise, consultaient les comptes de l’établissement et de la ferme. Elle a encore en tête le jour où le sommet de la montagne s’éleva dans l’éther, les isolants du monde un certain temps qui lui paraissait une éternité.
L’Arétin lui, ouvrait la boutique dont le Neveu tenait les rayons de marchandises.
Après avoir ouvert le coffre-fort, caché derrière une bibliothèque amovible, elle Vaqua à compter les billets et la monnaie.
Le neveu arriva dans la boutique, les salutations d’usage, un peu de bavardage autour du voyage et de ce qui avait pu se passer au pays durant leur absence.
Elle vint les rejoindre légèrement émue.
- Ce n’est pas le tout, mais l’éloignement a créé un Vademanque, je compte sur toi pour relancer la caisse !
- Pourtant, nous n’avons pas fait autant de dépenses que cela, reprend le mari.
- C’est une évidence, mais dix jours de manquent aux affaires creuse la réserve.
- Ne t’en fais pas, ma tante, dans quelques jours il n’en paraîtra plus rien.
- Je savais bien que je pouvais compter sur toi, voilà le premier client, les grands discours font les petites journées.
Chacun reprend son rôle, l’Arétin part aux champs, sa femme se partage entre la tenue de la caisse et celle de l’intérieur, le neveu, lui jouait de son charme de vendeur, le client, appâté par une pièce de tissus Mauve, il vidait ses poches pour régler la marchandise.
Quelques jours plus tard, Venue dans la ville voisine, l’Arétine se gare sur le trottoir de l’Avenue, elle déballa son Van, les affaires avaient repris leur routine.
Vous avez publié…176
Même si le thermomètre affichait un degré de moins que la veille; 31,5, il n'en fait pas moins chaud, heureusement ce soir un petit vent circule dans l'appartement et j'apprécie!
Pendant ce temps là... vous avez publié.
Lady... technoïte!
La vieille Marmotte... tous à Olivet!
Musiques au coeur... un tango! et plus si l'on suit
Guytou... cultissime!
Trop fort n'a jamais manqué.
(Terme de Marine) une série!
D'un équipement surdimensionné, on est certain qu'il ne cassera pas à l'usage