impressions
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Voilà j’avance dans la lecture des « Mémoires d’Hadrien », un premier constat, je ne connaissais pas l’écriture de Marguerite Yourcenar, je
dois dire que c’est un délice de lire cette œuvre.
Peut on comparer cela à une gourmandise, sans doute une pâtisserie fine, raffinée, légère que l’on savoure lentement, délicatement.
Mon appréciation, vous le comprendrez, n’a rien d’une étude littéraire, mais modestement je me suis mis à comparer deux écritures
sur un sujet identique, l’un que je lit en ce moment et d’on je vous parle, et l’autre lut il y a quelques années, c ‘est pour le deuxième, « les derniers jours de Baudelaire » par Bernard
Henry Levy.
A part le concept de ce mettre à la place du personnage principale, d’en évoquer ces souvenirs comme un confident, ça
s’arrête là, je du reprendre le livre de B.H.Levy, à trois reprises, car je le trouvais indigeste, je me suis forcé à le finir, rien à voir avec l’ouvrage avec ce que je déguste en ce moment, c’est
comme une gorgée d’eau pris à la source et qui vous transmet sa fraicheur.
C’est mes premières impression, a suivre.