L'aventure, dévotion!(suite)

... / ... Suite de l'aventure

  Sans bruit, ils arrivaient serré les uns contre les autres, le chef en robe rouge, les prêtres toujours en blanc et les servants en bleu, suivit de la tribu au grand complet, une fois à leur hauteur, ils ne les encerclèrent pas, mais ce positionnèrent à coté d'eux.

  - Oh! grand chef venu des étoiles, soit le bienvenu ici avec les tiens.

  - Vénérable roi, nous te remercions de ton hospitalité.

  - Plus jamais nous vous causerons de tord,"ADARAMA" est venu nous mettre en garde. Nous lui redevons nôtre reconnaissance, voila pourquoi nous avons dressé cette statue, il y a très longtemps qu'il  nous avait manifesté sa présence, qu'elle soit punitive ou gratifiante,nous l'avions presque oublié, ADARAMA c'est rappelé à nous.

  - Nous ne connaissons pas ADARAMA, mais nous lui sommes reconnaissant de sa clémence, c'est pour cela que lui offrons ce présent pour l'honorer.

  - Nobles étrangers, que la paix soit entre nous.

 - Nous ne désirons pas de conflit, simplement de vivre en bonne harmonie.

 - Qu'il en soit ainsi, dirent le chef et les prêtres.

 - C'est le désir d'ADARAMA, reprit Thomas.

 - Sans doute son message, lui répondit le chef, cette nuit nous avons posé la statue face à son apparition, nos anciens faisaient de même, mais comme je l'ai déjà dit,il y a bien longtemps qu'il n'était pas venu, nous pensions qu'il nous avait délaissé et nous n'en connaissions pas la cause, sans doute nôtre esprit guerrier ne lui plaisait pas, ils nous faut changer cette état d'esprit et nous lancer dans la voie de la paix. Vôtre offrande nous touche profondément et nous conforte en cette rédemption, nôtre conseil à décidé de prendre le chemin de la sagesse.

  La matinée passa autour de la statue, les Vules faisaient d'innombrables prières, de grand défilés cérémonieux auquel participât une fois l'équipage, à la fin de leur parade il retournait à la base. Le conseil abrogea la garde de la base et repoussa la prospection après les cérémonies des Vules, Georges pensait et d'autres avec lui que si ils les voyaient sortirent, ces derniers ce sentiraient trahis et ne pas les froisser était primordial.

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