un certain regard
Le fer
Le fer à la main, non pas
...ça main celui à repasser, oui aujourd'hui je prends mon courage à une main, déplie la table à repasser, déclenche Itunes et les ziks dedans, remplis le réservoir du fer et attaque" tayau tayau"
à la pile de linge, oh! c'est pas comme la dernière fois, près de cinq heures de repassage,
en deux jours, trois le lundi et deux le lendemain, il y avait un mois de lessive empilée. Il était une fois......y a bien longtemps cela ne me dérangeait pas mais maintenant je trouve que c'est
"chiant" ce truc, avant y avait les gosses, là célibat!, si il y a un truc qui me GONFLE c'est ça, pour le reste ma
fois.... si France Gall en voulait à Charlemagne, d'avoir inventé l'école, je vais monter un syndicat revendicatif contre le repassage? Bref plein de choses bouillonnaient dans mon pois chiche, on
aurait dit un haricot sec que l'on fait tremper dans l'eau tellement ça grossissait dans la tête, tout y passai, depuis la baisse du carburant, positif, mais pas répercuté avec entrain par gdf,
comme quand cela montai, vite allons à Bercy demander une hausse, et maintenant on demande plus rien, on fait l'aveugle et le sourd réunis, par contre pour vous
solliciter avec des offres de crédit par leur banques et s'inscrire à la téléfacture alors la vas y le courrier, en voila une de caser.
Prime à la casse......ouais je la veux bien, car j'envisage justement de me débarrasser de ma caisse, mais pas envie d'en acheter une
autre, j'en ressent pas l'utilité, et puis on vous offre mille euros pour la changer votre toto un peu vieille pour en acheter une autre, oui mais qui vas encore
pouvoir s'offrir une bagnole à dix sept mille, voir vingt cinq mille Euros avec un chrome à l'aapui!!!!!!!bravo l'incohérence, et de deux
Je parle même pas de la réforme de la télé, un hochet pour les politiciens qui l'agite à celui qui fera le plus de bruit, ça me fait penser au jeu ( très bien
fait ) Spore, ou pour séduire une tribu voisine il faut ce tortiller du cul ou pousser la chansonnette voir jouer des maracas, du cor ou de la flûte, et parfois un peu de tout, y en à un qui criait
que l'autre voulais la mort de la télé, mais n'est pas Bossuet qui veux, même à Meaux, la télé c'est comme dans le
Bourgeois Gentilhomme, on découvre sa mort alors qu'elle est déjà entrain d'agoniser, presque morte, d'autres supports plus conviviales prennent place, perte de
temps que de réformer cette télé publique, y a d'autres urgences à faire, bravo au godillots et les autres de tomber dans le piège, et de trois.
Roseline, je vous plein, c'est pas que j'ai de l'affection pour vous, mais quand même, pour des raisons évidentes vous
mettez en place une lutte contre la mal bouffe chez les enfants, contre ces cochonneries, que vous vouliez supprimer leurs pub à la télé, le lobby de ces fabricants de boissons gazeuses et autres
sucreries alimentant l'obésité de nos rejetons, vous court-circuite avec une charte, que personne ne respecteras d'ailleurs, faisant tomber à l'eau votre combat, ils sont pas intelligents nos
énarques dans ces sociétes, car il y a suffisament d'attraction vers les têtes blondes par le biais des produits dérivés, bonbons chocolats, gâteaux à l'effigie de leurs héros préféré, et de
quatre, faut que j'arrête le repassage, ça me donne des effets bizarre!!!!
Vers une heure du matin, après
avoir étendu la lessive, ( oui il faut bien) je touillais une dernière fois la macération des oranges. Ce matin debout huit heure trnte, petit déjeuné et tout la tralala du matin, puis je
m'attaque à la confiture, j'allume le gaz et place la marmitte, il est à peu près dix heure, je remue "la soupe" de temps en temps, je me dit que quelque chose cloche, j'ai changé ma recette, trop
de liquide et pas assez de tranche de fruit sans doute, oui les autres années je fais la contraire qutre fruit en jus le reste en rondelle dans la marmite? Midi dix, j'arrete la cuisson et met la
mixture en bocaux, je les laisse refroidir, après passerais un coup de sopalin humide pour retirer les éventuels éclaboussures sur les rebords, onze grands bocaux de 385 ml ou g, 4 de 350 et deux
ex pots de miel d'nviron 250g voila pour ces confitures.
A déguster sans modération
Cette après midi ,je me suis
attaqué au confiture d'orange, je devrais dire préparé la confiture.
Dimanche au marché j'achète quatre kilos d'oranges non traitées, et quatre citron bio, lundi je fais quelques surfaces à la Part Dieu pour acheter des bocaux à
confiture il m'en manque, difficile en décembre quel drôle d'idée (lol), bon enfin au BHV sans faire de pub j'en trouve, deux paquets de six bocaux à 385 ml ou g?, hier cinq kilos de sucre.
Je tare la balance et pèse la marmite, deux kilos cinq cent soixante grammes, je lave les oranges et les citrons, prends quatre oranges et trois citrons, tire des zestes, puis
coupe en deux la totalité des citrons que je presse avec le robot.
Je retire ce qui reste de peau et pellicule blanche sur les oranges plus une que je pelle aussi, je les coupe en rondelles assez fines, les place dans la
marmite ( j'ai un faitout en inox qui me sert qu'aux confitures) avec les zestes, le reste d'orange je les passe au presse agrumes du robot et verse le jus dans la marmite, pesé de l'ensemble,
total cinq kilos cent quatre vingt grammes, soit deux kilos six cent vingt de fruit, j'ajoute un litre d'eau par kilo soit deux litres et demi, ne chipotons pas pour les cent vingt grammes,
et cinq kilos deux cent quarante grammes de sucre soit deux fois le poids des fruits, je laisse macérer jusqu'à demain en touillant de temps en temps, demain cuisson de la mixture et mise en
bocaux.
Après cela un petit tour sur Deezer, car hier j'ai découvert qu'il y avait un nouvel outil, du moins un module dans les créations d'articles, insérer de
la musique, ce que je fit par expérience et en remercia l'équipe par le biais du forum sur un autre blog, moins soft que celui ci, bref j'appronfondissait le site en y mettant des morceaux mp3 de
mon ordi, sympa, et voilà maintenant j'ai pondu ( lol ) cet article en attendant de déguster mes tasses de thé vert.
POUR UNE FOIS
Aujourd'hui, j'ai aussi ma crise, grrrrrr, Pauvre France, qui au nom du sabre et des goupillons, envoient ses jeunes ce faire tuer en terre inconnue, on refuse pour les mêmes sabre et goupillons, le droit de mourir dignement.
Certain préconise un dépistage ''précoce'' du délinquant, he bé je connais un moustachu et ces compères qui doivent ce marrer dans leurs tombes, ils le pratiquaient déjà, '' euthanasier tout ce qui est bancale'', ho il bouge trop dans le ventre de sa mère, c'est un être à venir dangereux, où vit on.
Plus léger et pourtant " Ubuesque, Courtelinien", des élus aux idées bizarre:
rappeler vous les plaques minéralogiques, nos gouvernants nous rabâchaient que la plaque nouvelle arrivait, que du côté gauche la bande bleu serait réservé au drapeau européen avec le sigle F, rien à redire, que celle de droite était "libre" de choix pour marquer sa région, son département, et une campagne imbécile à rendue "obligatoire ce dernier composant",laissant la liberté de mettre n'importe quel département de son choix!!!! merci les adeptes de Courteline.
Si j'achète une voiture dans les années à venir, pour moi il n'y auras pas de département du coté droit.
En ce temps
là
En ce temps là ,de Gaulle était président
En ce temps là, j'avais vingt ans
En ce temps là, je faisais mon régiment
En ce temps là, 68 un nouveau printemps
Aujourd'hui, trois fois vingt ans
Aujourd'hui, de refaire le monde encore temps
covix 22 mai 2008
Quand la passion vous tiens, n'y resistez pas, prenez la à pleine main et laissez vous porter par elle, mais surveillez quand même à ce qu'elle ne vous entraine pas dans l'obscurité
covix 27avril2008
Mai 68
C'est encore d'actualité, un témoignage de mon mai 68, d'abord j'appartenai au monde ouvrier,
ensuite j'étai bidasse à Paris.
D'abord: pas possible pour moi d'ètre surpris par mai 68, car les grèves à répétition dans le secteur privé pour des
droits sociaux nouveaux ou étendus, (40h, 3 semaines de congés, salaires, droits syndicaux), en 1966 dans les usines, ateliers, bureaux ont parlaient d'un nouveau 36 à l'horizon, puis en 67 départ
pour l'armée 16 mois, en mars les élections législatives, la majorité gaullistes tenait à une voie, c'était fragile, je me souvient des 2 tours à ette époque, les appelés en age de voter (21 ans et
+) eurent des permissions exceptionnelles pour faire leur devoir de citoyen (nous faisions nos classes donc pas de permes en principe), des transistors dans les chambrées nous écoutions les
résultats et étions heureux de mettre le pouvoir en situation d'echec. Puis la vie semblai continuer, encore des grèves, les colloques sur l'éducation nationale, un bouillement d'idée planait dans
l'air et si la France semblait "s'ennuyer" pour certain d'autres avaient envie que cela bouge, les évenements à Nanterre en mars 68 enclanchèrent un processus vers mai 68, non avant il y avait eu une grève dure et affrontement entre les forces de l'ordre et les salariés à Caen en février de cette année là, cela donnait déja la tonalitée de ce qui
suivrait. Fin avril début mai avec un camarades de section nous devions réhausser la chausser devant un barraquement car quand il pleuvait cela faisait une mare devant l'entrée, déposes des pavés,
nous écoutions encore le transistor et les premières barricades commençaient, notre commentaires" nous aussi ont faient une barricade" en effet nous érigions le tas de pavés un peu plus loin
le long du mur de la caserne.
un soir ou j'étai rester pour ma permanence de nuit ( 1 nuit sur 2), dans notre barraquement ont discutaient de ce qu'il ce passait au quartier latin, nous étions la veille du10 mai, un
sergent passai et semblai prendre la température des troupes car on ne le voyait que très rarement le soir,
je dit à ce momment là " oui mais quand les ouvriers ce mettrons aussi en grève ou de la partie cela ne sera plus pareil, ça rigolera moins"
le sergent répliqua " Les ouvriers ne viendrons pas soutenirs les fils de bourgeois qui foutent leurs bordel"
on polémiqua longuement les uns d'accord evec le sergent d'autres avec moi.
. Sur un point il avait raison, la majorité des étudaints de l'époque étaient des fils
à Papa et il y en avaient peux de la classes ouvrières ou paysanes. puis ce fut le 10 mai, grande manifetation populaire, ou étudiants et monde du travail ce retrouvaient, cela semblait me donner
raison, puis ce fut le déclanchement des grèves. Le 13 mai me marqua à plusieurs points, le premier un peu d'égoïsme si je puis dire, je pensai à mon départ pour la permission du
libérable c'est a dire un mois sans l'armée, la deuxième beaucoup plus angoissantes, réquisition de toutes les unités, et les bidasses qui étaient en inter-armes, venaient dans nos barraques, des
rumeurs circulaient, les étudaints allaient prendre "d'assaut" les relais de la télé sur la Tour Eiffel, venir occuper les usines citroën du 15 arrodissement, la caserne n'était pas loin, voir même
venir nous voler les armes à l'armurie, bref n'importe quoi, là encore les sous officiers prenaient la température, et ils semblaient nous dire que l'on pourraient avoir à intervenir, je fit
remarquer que nous ne prendrions pas les armes contre les étudiants ou les ouvriers, des compagnons présents qui étaient plutot dans les 25 /27 ans acquiescierent, car eux étaient sursitaires et
plus proches des jeunes de la Sorbonne quand même, le sergent nous glaça un instant en rétorquant que nous serions obligés si nous avions des fusils dans le dos.....Il nous laissa à notre
réflection, voila et l'on pensait à la garde de Lafayette qui se retourna du coté des révolutionnaires de 1789, nous nous consolâmes comme cela, le soir venu, plus de consigne, ce
mauvais scénario ne ce fit pas, mais n'oublions pas quand même que des unitées blindées et des troupes aguerries montèrent dans les environs de la capitale. en fin de semaine je parti en
perme, pas loin dans le 12 arrdt de Paris et vécu la suite à la maison, je suis allé à pied, mais cela me plait, de chez moi à mon job pour voir comment cela ce passait et comme partout il y
avait occupation du site, le conflit ce termina,les élections donnèrent une large majoritées à la droite. On a été bien " cocufier ", la vie reprenait son cours et ma première réaction ça été de dire merde ça pue l'essence, eh oui on
respirait bien mieux au printemps 68 dans Paris .
Covix descendant de gaulois