un début 25
Au printemps, j’entreprends de refaire la tapisserie et la peinture de la petite chambre
elle en à bien besoin, bon la routine dans le travail, les kms s’accumulent aux kms, je découvre de nouveaux paysages, mais n’est point le temps de les visiter, ce sera pour un autre jour peut
être. Dans ma vie privée rien de spécial je cherche un compagnon éventuellement, mais je suis trop romantique et le premier contact je me mets à rêver d’une suite qui ne viens pas, bof, c’est comme
cela, pour les vacances d’été avec les enfants je loue un appartement au Canet plage, j’y suis allez en 96, le mâtin en arrivant après avoir roulé toute la nuit, sur la terrasse d’un bar en bord de
mer, nous assistons au levé du soleil, les enfants sont heureux du spectacle, et la pour cette période c’est avec le mont Ventoux dans le dos que le soleil apparaît, mon fils le deuxième, l’admire
tente une photo, mais bon !vu la distance c’est pas terrible. Nous passons de belles vacances, puis retour sur lyon. Je ne sais pas vous, mais les chemises à carreaux depuis un certain nombre
d’années me sortent par les narines, je cherchais des chemisettes à fleur, à Lyon peau de balle et balai de crin comme on dit, c’est dans une ruelle de la cité balnéaire que je fis l’acquisition de
la première, j’en profite pour en acheter une à mon fils, un chapeau de paille exotique en tresse de coco, c’est comme cela qu’il parti à Pau, un pari en somme, à l’embarcadère de Satolas à
l’époque, maintenant c’est Saint Exupéry, les contrôleurs s’en amusèrent, c’est à ,contre courant, Lyon Pau en tenue De plage pour les caraïbes !
J’assistais aux manifestations de la biennale de la danse, ou au huit décembre, ce sont des instants important de la vie Lyonnaise, tout comme les nuits de Fourvière qui sont aussi vielles que le festival d’Avignon, au début que je vivais à Lyon c’était du 15 juin au début aout puis les quinze premier jours de septembre, maintenant c’est du début juin à fin juillet voir début aout pour la soirée de clôture.
Au hasard de mes rencontres, je fis la connaissance de mon ami, je dois dire que je ne pensais pas avoir un suivi avec lui, je croyais que ce serais comme les autres, un soir et puis… mais il me charma, ces propos à mes oreilles sonnaient un peux faux, ça ressemblaient à une histoire dans les bouquins de la collection Arlequin ! je voulue savoir où cela ira, je suis tombé dans mon piège, cette relation dure depuis bientôt neuf ans, tout comme l’arrêt de fumer. Elle faillit topurnée au vinaigre quand je fit la connaissance d’un garçon étranger qui entra dans mon cœur, je l’aimais, c’est vrai, c’est con mais quand c’est comme cela je n’ose pas toucher, la vue de son corps torse nu me chavirai surtout quand j’étais près de lui, je me laissais doucement aller et nous passions un bon moment, j’aimais sa façon de faire, et ce compte tenu de sa jeunesse, était agréable, seule ombre dans cette relation, du moins il y en a d’autre, c’est qu’il n’est pas très câlin et surtout n’embrasse pas, il me dit que c’est le privilège des femmes d’embrasser, oups… bien sur c’est mon côté féminin qui me fait agir comme cela, je suis très doux et câlin dans l’intimité, mais avec lui cela me manque, en plus il joue le gigolo et ça ne me plais pas, il retournera dan son pays, je lui en veux beaucoup, à moi aussi d’ailleurs de m’être laisser avoir comme cela, mais bizarrement il me manque, il y avait malgré tout un échange de connaissances entre nous, quand il revint, un dimanche soir sans me prévenir, vu l’heure je ne pouvais pas le laisser à la rue, il était heureux d’avoir un toit, c’est un garçon au culte du corps, très propre, je me laisse piéger encore, cela dura plusieurs fois, un peu capricieux le jeune homme quand même et un jour il y eu un clash, le calme revint il fini son séjour, je ne le révérais plus, parfois il me téléphone, la dernière fois c’est il y a presque deux mois, il voulait revenir, compte tenue de beaucoup de paramètres négatifs je lui fis comprendre que je ne pouvais plus l’accueillir, je le sentais triste, mais il faut qu’il ne pense plus à moi, je ne peux assumer une telle relation, même si mon cœur bat encore pour lui, ce n’est pas possible. Bien sur je compare la tendresse de ce jeune amant, sa douceur dans ses gestes, sa façon d’être, ça me convient très bien, je suis assez nerveux intérieur comme cela, et une tel compagnie me calme ! mon ami c’est différent, je dirais même l’opposé, très gentil, mais toujours sur la brèche, je ne pourrais pas vivre avec lui c’est sur, nous nous voyons de temps en temps et c’est mieux comme cela.
Mon fils ainé est venu travaillé à Lyon et parfois nous sortons ensembles dans de belles balades, mais chacun chez soit il à sa vie et moi la mienne.
Voilà maintenant j’ai rendu mon tablier, et il me fallait coucher un peu de mes souvenirs sur le papier.
La vie est bien cruelle parfois, en fin d’année j’étais chez ma fille, elle attendais son bébé, il devait naître au environ de fin janvier début février, du train ou tournais les évènements nous pensions qu’il serait la avant, mais la grossesse alla à terme, et le jour de son anniversaire elle donna naissance à son garçon, R, prénom anglo saxon, je l’entends déglutiner son biberon, pleurer aussi, gazouiller, il commence un peu, fin avril mon ainé, et mes parents nous nous retrouvons chez ma fille pour accueillir ce petit qui pousse bien, le soir du 25 avril arrivant chez elle, c’est le monde qui s’écroule sous nos pieds, comme absorbé par je ne c’est quelle siphon, je ne verrais jamais mon petit fils, il nous fit un pied de nez, il y a beaucoup de peine autour de lui, mais peut être que c’était son temps de passage en notre monde, son âme divague dans l’univers. Je t’embrasse petit ange.
La machine c’est grippée, le ressort détendu, rien est plus comme avant, mais bon la marche elle continue droit vers son destin.
J’assistais aux manifestations de la biennale de la danse, ou au huit décembre, ce sont des instants important de la vie Lyonnaise, tout comme les nuits de Fourvière qui sont aussi vielles que le festival d’Avignon, au début que je vivais à Lyon c’était du 15 juin au début aout puis les quinze premier jours de septembre, maintenant c’est du début juin à fin juillet voir début aout pour la soirée de clôture.
Au hasard de mes rencontres, je fis la connaissance de mon ami, je dois dire que je ne pensais pas avoir un suivi avec lui, je croyais que ce serais comme les autres, un soir et puis… mais il me charma, ces propos à mes oreilles sonnaient un peux faux, ça ressemblaient à une histoire dans les bouquins de la collection Arlequin ! je voulue savoir où cela ira, je suis tombé dans mon piège, cette relation dure depuis bientôt neuf ans, tout comme l’arrêt de fumer. Elle faillit topurnée au vinaigre quand je fit la connaissance d’un garçon étranger qui entra dans mon cœur, je l’aimais, c’est vrai, c’est con mais quand c’est comme cela je n’ose pas toucher, la vue de son corps torse nu me chavirai surtout quand j’étais près de lui, je me laissais doucement aller et nous passions un bon moment, j’aimais sa façon de faire, et ce compte tenu de sa jeunesse, était agréable, seule ombre dans cette relation, du moins il y en a d’autre, c’est qu’il n’est pas très câlin et surtout n’embrasse pas, il me dit que c’est le privilège des femmes d’embrasser, oups… bien sur c’est mon côté féminin qui me fait agir comme cela, je suis très doux et câlin dans l’intimité, mais avec lui cela me manque, en plus il joue le gigolo et ça ne me plais pas, il retournera dan son pays, je lui en veux beaucoup, à moi aussi d’ailleurs de m’être laisser avoir comme cela, mais bizarrement il me manque, il y avait malgré tout un échange de connaissances entre nous, quand il revint, un dimanche soir sans me prévenir, vu l’heure je ne pouvais pas le laisser à la rue, il était heureux d’avoir un toit, c’est un garçon au culte du corps, très propre, je me laisse piéger encore, cela dura plusieurs fois, un peu capricieux le jeune homme quand même et un jour il y eu un clash, le calme revint il fini son séjour, je ne le révérais plus, parfois il me téléphone, la dernière fois c’est il y a presque deux mois, il voulait revenir, compte tenue de beaucoup de paramètres négatifs je lui fis comprendre que je ne pouvais plus l’accueillir, je le sentais triste, mais il faut qu’il ne pense plus à moi, je ne peux assumer une telle relation, même si mon cœur bat encore pour lui, ce n’est pas possible. Bien sur je compare la tendresse de ce jeune amant, sa douceur dans ses gestes, sa façon d’être, ça me convient très bien, je suis assez nerveux intérieur comme cela, et une tel compagnie me calme ! mon ami c’est différent, je dirais même l’opposé, très gentil, mais toujours sur la brèche, je ne pourrais pas vivre avec lui c’est sur, nous nous voyons de temps en temps et c’est mieux comme cela.
Mon fils ainé est venu travaillé à Lyon et parfois nous sortons ensembles dans de belles balades, mais chacun chez soit il à sa vie et moi la mienne.
Voilà maintenant j’ai rendu mon tablier, et il me fallait coucher un peu de mes souvenirs sur le papier.
La vie est bien cruelle parfois, en fin d’année j’étais chez ma fille, elle attendais son bébé, il devait naître au environ de fin janvier début février, du train ou tournais les évènements nous pensions qu’il serait la avant, mais la grossesse alla à terme, et le jour de son anniversaire elle donna naissance à son garçon, R, prénom anglo saxon, je l’entends déglutiner son biberon, pleurer aussi, gazouiller, il commence un peu, fin avril mon ainé, et mes parents nous nous retrouvons chez ma fille pour accueillir ce petit qui pousse bien, le soir du 25 avril arrivant chez elle, c’est le monde qui s’écroule sous nos pieds, comme absorbé par je ne c’est quelle siphon, je ne verrais jamais mon petit fils, il nous fit un pied de nez, il y a beaucoup de peine autour de lui, mais peut être que c’était son temps de passage en notre monde, son âme divague dans l’univers. Je t’embrasse petit ange.
La machine c’est grippée, le ressort détendu, rien est plus comme avant, mais bon la marche elle continue droit vers son destin.
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