un début
Le château fut bâti par un descendant de Clovis ! il était en très mauvais état, il subsistait un donjon. Mon beau père en avait un
peu l’entretien, surtout d’empêcher la végétation de finir l’anéantissement de l’édifice.
Revenons à la maison, donc en entrant dans le cuisine sur la droite une cheminée, avec la réserve de bois, dans cette dernière une cuisinière a bois, avec ces ronds où l’on pose les casseroles dessus, un bac sur le côté qui contenait de l’eau, ça donnait de l’eau chaude, il y avait un robinet vers le bas, un four et une étuve c’est mes souvenirs, à gauche, un petit meuble avec posé dessus un réchaud à gaz butane, deux feux, c’était le révolution technologique dans le village, un buffet une table de cuisine cossue, en face une porte donnas sur le jardin avec des marches pour y accéder, une fenêtre sous laquelle trônait l’évier, l’eau on la tirai avec une pompe dans la cour, elle était potable. Face au buffet une étagère avec les casseroles accrochées dessous et dessus un poste de radio avec l’œil magique, on écoutait Radio Luxembourg à l’époque. Le quitte ou double animé par Marcel Fort, l « La famille Duraton » de J-J Vital, avec le jeune Jean Carmet, Noël-Noël, Jeanne Sourza etc., ça vas bouillir avec Zappy Max, et surtout ce qu’il fallait écouter religieusement la chronique de Mme Geneviève Tabouis avec son célèbre ‘’ Attendez vous à savoir…’’ elle commençait ses rubrique avec cette phrase mythique
Après l’étable et la grange c’était l’habitation des Grands parents, devant la porte d’entrée il y avait une avancée grillagée, avec une porte en fer, (quand je faisais mes premiers pas, un coup de vent rabattit la porte et je reçut la poignée sur le front, lui causant un petit trou, marque que je porte encore, cela ralenti ma progression sur mes deux pattes, comme vous le comprenez sans doute), autrement un peu comme chez nous, sauf que le vestibule est remplacé par la pièce commune. Il me semble que la cheminée avec la même cuisinière décrite avant était en face. J’aimais quand la grand-mère faisait la cancoillotte, c’était du Méton que l’on faisait fondre dans un poêlon avec du beurre et un œuf, parfois on y glissait de l’ail, assis parterre sur un coussin, j’attendais avec une petite assiette qu’elle en mit dedans pour me régaler,
Ça ce mangeais avec des pommes de terre sautées et une salade.
Après il y avait une autre pièce mais là c’est plus flou, étais-ce une chambre ou bien la salle à manger, je ne sais plus, je penche pour le salle à manger, je me souviens qu’avec des petits cousins on jouaient sous la table dont les pieds tordus me restent en mémoires ! D’ailleurs il y avait aussi une porte qui donnait sur le jardin, il y avait une ruche et la célèbre cabane au fond du jardin. Dans ce lieu d’aisance, pas de papier toilette en rouleau ou mille feuille, non… c’était les pages soyeuses du chasseur français qui en faisaient l’usage… j’aimais les regarder, surtout les images, on y voyait des fusils, des vélos, des couteaux, canes à pêche et … de la pub dessinée représentant une homme et une femme, avec la ceinture Gibaud, j’étais attiré par cette image, la femme dans un espèce de maillot une pièce avec la ceinture autour du ventre l’homme torse nu en slip et toujours cette ceinture, les formes arrondies au niveau de la poitrine de la femme étaient plaisant à regarder, mais c’est surtout une sorte de grosse boule entre le jambes de l’homme qui m’attirait !...
Aïe !... qué passa, bon je ne pensais pas à ces choses là à l’époque, mais bon…
La ruche en dehors de nous donner du miel, eut une histoire, une histoire pour mes bêtises… oui j’en ai fait, na ! ma tante et mon oncle accompagnée de ma cousine vinrent passer quelques jours pour les vacances de Pâques, en bon ‘’maître’’ des lieus, je les fit visiter à ma cousine et je lui présentait la ruche, un léger ballet d’abeilles mais pas de quoi fouetter un chat, je ne sais ce qu’elle me dit, mais ce fut un truc du genre « ah ! mais ça ne bouge pas beaucoup » comme un bon petit diable que je suis… je soulève le toit de la ruche et y plante un bâton que je remue évidemment, la suite de la scène, je laisse vôtre imagination travailler avec nos amies butineuses plein les cheveux ! naturellement il y eut une suite, cinq doigts qui me chauffèrent le popotin.
Allez, vous êtes friand de mes facéties ! si je le sais… Bon celle là reste dans le souvenir collectif, car on me tellement raconté que je pense m’en rappeler, mon beau père faisait en ce temps là l’épicier ambulant, par contre je me rappel quand le véhicule fut transformé en scierie pour tronçonner les rondins de bois chez les fermiers, nous étions à l’arrêt devant le château, mon beau père et ma mère parlaient avec une cousine à lui, j’étais seul dans la voiture, mon pote Josélito qui habitait pas loin, monta sur un marche pied près de la portière et me demanda
« Tu sais conduire la voiture »
Moi, bravache « oui, c’est comme cela »
Et desserrant le frein à main, l’auto partie doucement dans la pente, je tenais le volant et mon pote était accroché à la portière, ma mère vit le véhicule partir et cria, mon beau père couru vers nous, il fit vite en plus comme il est très grand plus du mètre quatre vingt, il nous rattrapa bon l’auto stoppa sa course au coin de l’abattoir du boucher, heureusement, car si elle avait pris le petit chemin qui longe ce bâtiment
Je ne vous dit pas les dégâts, et tout fier, je dit « c’est moi qui l’ai conduit » je connue là encore la vigueur de sa main sur mes fesses (il y a de l’héritage génétique, mes deux garçons firent les mêmes conneries ! l’un avec une 4l, l’autre avec un tracteur)
Cette pente impraticable tellement qu’elle était raide, elle nous servait de piste de luge l’hiver.
Revenons à la maison, donc en entrant dans le cuisine sur la droite une cheminée, avec la réserve de bois, dans cette dernière une cuisinière a bois, avec ces ronds où l’on pose les casseroles dessus, un bac sur le côté qui contenait de l’eau, ça donnait de l’eau chaude, il y avait un robinet vers le bas, un four et une étuve c’est mes souvenirs, à gauche, un petit meuble avec posé dessus un réchaud à gaz butane, deux feux, c’était le révolution technologique dans le village, un buffet une table de cuisine cossue, en face une porte donnas sur le jardin avec des marches pour y accéder, une fenêtre sous laquelle trônait l’évier, l’eau on la tirai avec une pompe dans la cour, elle était potable. Face au buffet une étagère avec les casseroles accrochées dessous et dessus un poste de radio avec l’œil magique, on écoutait Radio Luxembourg à l’époque. Le quitte ou double animé par Marcel Fort, l « La famille Duraton » de J-J Vital, avec le jeune Jean Carmet, Noël-Noël, Jeanne Sourza etc., ça vas bouillir avec Zappy Max, et surtout ce qu’il fallait écouter religieusement la chronique de Mme Geneviève Tabouis avec son célèbre ‘’ Attendez vous à savoir…’’ elle commençait ses rubrique avec cette phrase mythique
Après l’étable et la grange c’était l’habitation des Grands parents, devant la porte d’entrée il y avait une avancée grillagée, avec une porte en fer, (quand je faisais mes premiers pas, un coup de vent rabattit la porte et je reçut la poignée sur le front, lui causant un petit trou, marque que je porte encore, cela ralenti ma progression sur mes deux pattes, comme vous le comprenez sans doute), autrement un peu comme chez nous, sauf que le vestibule est remplacé par la pièce commune. Il me semble que la cheminée avec la même cuisinière décrite avant était en face. J’aimais quand la grand-mère faisait la cancoillotte, c’était du Méton que l’on faisait fondre dans un poêlon avec du beurre et un œuf, parfois on y glissait de l’ail, assis parterre sur un coussin, j’attendais avec une petite assiette qu’elle en mit dedans pour me régaler,
Ça ce mangeais avec des pommes de terre sautées et une salade.
Après il y avait une autre pièce mais là c’est plus flou, étais-ce une chambre ou bien la salle à manger, je ne sais plus, je penche pour le salle à manger, je me souviens qu’avec des petits cousins on jouaient sous la table dont les pieds tordus me restent en mémoires ! D’ailleurs il y avait aussi une porte qui donnait sur le jardin, il y avait une ruche et la célèbre cabane au fond du jardin. Dans ce lieu d’aisance, pas de papier toilette en rouleau ou mille feuille, non… c’était les pages soyeuses du chasseur français qui en faisaient l’usage… j’aimais les regarder, surtout les images, on y voyait des fusils, des vélos, des couteaux, canes à pêche et … de la pub dessinée représentant une homme et une femme, avec la ceinture Gibaud, j’étais attiré par cette image, la femme dans un espèce de maillot une pièce avec la ceinture autour du ventre l’homme torse nu en slip et toujours cette ceinture, les formes arrondies au niveau de la poitrine de la femme étaient plaisant à regarder, mais c’est surtout une sorte de grosse boule entre le jambes de l’homme qui m’attirait !...
Aïe !... qué passa, bon je ne pensais pas à ces choses là à l’époque, mais bon…
La ruche en dehors de nous donner du miel, eut une histoire, une histoire pour mes bêtises… oui j’en ai fait, na ! ma tante et mon oncle accompagnée de ma cousine vinrent passer quelques jours pour les vacances de Pâques, en bon ‘’maître’’ des lieus, je les fit visiter à ma cousine et je lui présentait la ruche, un léger ballet d’abeilles mais pas de quoi fouetter un chat, je ne sais ce qu’elle me dit, mais ce fut un truc du genre « ah ! mais ça ne bouge pas beaucoup » comme un bon petit diable que je suis… je soulève le toit de la ruche et y plante un bâton que je remue évidemment, la suite de la scène, je laisse vôtre imagination travailler avec nos amies butineuses plein les cheveux ! naturellement il y eut une suite, cinq doigts qui me chauffèrent le popotin.
Allez, vous êtes friand de mes facéties ! si je le sais… Bon celle là reste dans le souvenir collectif, car on me tellement raconté que je pense m’en rappeler, mon beau père faisait en ce temps là l’épicier ambulant, par contre je me rappel quand le véhicule fut transformé en scierie pour tronçonner les rondins de bois chez les fermiers, nous étions à l’arrêt devant le château, mon beau père et ma mère parlaient avec une cousine à lui, j’étais seul dans la voiture, mon pote Josélito qui habitait pas loin, monta sur un marche pied près de la portière et me demanda
« Tu sais conduire la voiture »
Moi, bravache « oui, c’est comme cela »
Et desserrant le frein à main, l’auto partie doucement dans la pente, je tenais le volant et mon pote était accroché à la portière, ma mère vit le véhicule partir et cria, mon beau père couru vers nous, il fit vite en plus comme il est très grand plus du mètre quatre vingt, il nous rattrapa bon l’auto stoppa sa course au coin de l’abattoir du boucher, heureusement, car si elle avait pris le petit chemin qui longe ce bâtiment
Je ne vous dit pas les dégâts, et tout fier, je dit « c’est moi qui l’ai conduit » je connue là encore la vigueur de sa main sur mes fesses (il y a de l’héritage génétique, mes deux garçons firent les mêmes conneries ! l’un avec une 4l, l’autre avec un tracteur)
Cette pente impraticable tellement qu’elle était raide, elle nous servait de piste de luge l’hiver.
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