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Le blog de covix-lyon

un début!

7 Juin 2009 , Rédigé par covix Publié dans #souvenirs

 

                        Enfance


            Le début de quelque chose, des mots que la mémoire amène et vous invite à raconter, car ces souvenirs on ne peux les garder pour sois, bon j’en raconte un peux à mes enfants, mais un truc me pousse à l’écrire, donc voici un premier morceau  de mon récit, mon enfance.


     Une tranche de ma vie, je n’en connais pas la raison, mais il me faut la coucher sur le papier. Qu’est ce qui guide ce fait ? L’esprit sans doute qui erre en moi. Je passerais vite sur mon enfance dans ce village de Haute Saône, allant à  l’école primaire, Le bâtiment était coupé en deux  parties, un côté filles et un côté garçons, la classe elle allait du Cp à la terminal du primaire nous amenant au certificat d’étude du même nom le CEP, diplôme très important pour un jeune à l’époque.
    En ce temps là les préoccupations sexuel ne me tracassaient pas encore, vous vous en doutez bien !j’avais des copains, surtout un copain, fils d’émigré espagnol ayant fuit le Franquisme et une copine que j’appellerai Odette, le copain par facilité ce sera Josélito.
Je passe sur cette période, j’y reviendrai peut être une autre fois.
Puis ce fût Paris, deux pensionnas et c’est dans le dernier que je découvris mes premiers émois amoureux et le jeu du touche ‘’Pipi’’.
   J’avais un faible pour mon voisin de lit, un jeune noir des Antilles, beau gosse et le désir de le sentir contre moi me tarabustai les neurones, j’avais 10ans mais ce fût un garçon qui allait sur ces quatorze ans qui m’amena à connaître le plaisir de caresser un sexe ‘‘masculin’’. Dans la douche collective, une douzaine de garçons aux âges différents je remarquais parfois au milieu d’une touffe de poils naissante les sexes en demis érections des plus grands, mais sans plus. Le gars me piégeât, il était chargé de surveiller la nuit dans une cabine isolée dans le dortoir où nous dormions, après 22h pour nos besoins il y avait un sceau au fond de la chambre dans un petit recoin, bien qu’ayant vidé ma vessie plus tôt et avec mon voisin Antillais avec lequel on simulait des jeux de pilotes d’avion ou autre divagations, donc passé ces 22h couvre feu, plus de bruit, on doit dormir, je suis pris à un moment donné d’une envie, je me levais et me soulageais, fermais le pot et alla me recoucher, le mec interpelle de la chambré et demanda à celui qui avait troublé le silence de venir dans sa ‘’chambre’’, après une hésitation je me levais et entra dans la pièce, il me fit mettre à genou dans le coin des deux murs, le temps me paressa long là sur mes genoux, puis d’une voix basse il me fit venir près de son lit, je lui obéissais, me voilà à genoux devant son lit, il prit ma main droite, la passa sous les couvertures et l’entoura autour de son sexe qui était dure, commençant un léger mouvement de bas en haut, c’était dure et doux en même temps, il lâcha ma main et me dit de continuer, ce que je fit, cela ne me déplaisait pas, il souleva le drap et la couverture, j’avançais un peu la tête, il éclaira ce que je faisais, j’admirai son sexe tendu entre mes doigts, c’était beau, puis il la retira, ce recouvrit, me regarda et m’invita à retourner dans mon lit,  le lendemain j’osai par curiosité refaire la même chose et cela ce renouvela sauf que cette fois si, il n’eu pas besoin de guider la manœuvre, j’avais comme l’impression que cela me plaisais, et comme la veille il arrêta le geste et je regagnais mon lit, l’expérience ne fût pas refaite, ces masturbations ne furent pas complètes,  la jouissance finale je n’y participais pas mais comme à dix ans on ne sais rien de ça surtout à cette époque là.
   C’était les premières caresses d’un sexe autre que le mien et j’avais aimé le faire !
   Puis plus rien, silence radio, parfois après le pensionna en cm2 de l’école publique, je matais des garçons.
     Stop… ma mémoire me dit reviens en arrière dans ton village.
Oui des jeux à la noix dans ces écoles de provinces. Je reviendrai dessus. D’abord mes souvenirs pêle-mêle, petit dans cette classe  comme je le disais plus haut, nous étions de tous les niveaux scolaires, la maitresse s’occupait des garçons et le maitre des filles.
  La maitresse nous enseignait le savoir que nous devions avoir, donc pendant que les grands faisaient un problème, nous elle nous demandait avec de la pate à modeler de faire des choses, et apprendre à les compter. Dans ce contexte, cela faisait plusieurs choses, l’imaginaire, le travail manuel et les ‘’maths’’, séance d’alphabétisation, 26 lettres à apprendre, puis à assembler pour faire un mot et enfin une phrase, lire aussi.
   Le jeudi était consacré à la garderie chez les ‘’bonnes sœur’’ et le dimanche à la messe et les vêpres, ces dernières je ne les aimaient pas, la messe ça passait, nous les enfants étions dans le chœur de l’église près de l’autel, c’était pour moi avant tout un ‘’spectacle’’ le parfum de l’encens, l’harmonium, les copains déguisés dans un habit rouge avec des dentelles blanches, les beaux habits du curé, je ne comprenais rien à ce rituel mais c’est magique.

covix-lyon©07/06/2009

 

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J
Plus précoce que moi dans ces jeux là, mais quelques souvenirs communs, entre autres, l'essens....mais je ne retournerai pas à l'église pour autant,Bonne journée,BisousJj
C
<br /> Bonjour Jj<br /> Mais j'ai eu une grosse pause jusqu'a mes 22/23 ans ou je connu ce que j'aimais, et refoulais encore longtemps<br /> A part les évenements familliaux, et le tourisme pour les arts qu'elles déploient... je ne fréquente plus<br /> Bonne journée<br /> Bisous<br /> <br /> <br />