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Le blog de covix-lyon

En attedant la fin du Monde... 29

20 Novembre 2019 , Rédigé par covix Publié dans #Billet, #Poésie, #certains regards

Octobre est passé à la trappe des oublis,

Et la connerie commercial fleuri.

En son début commencent des décors de Noël,

Bientôt ils arriveront en Juillet,

Halloween n’est pas encore dans les ruelles

Que déjà, Papillottes, guirlande en vitrine se montrent belles.

Novembre, lui, est bien dans sa peau,

Gris, froid, pluvieux, loin de l’été de la Saint-Martin,

Sur la route entre les averses, passent les oies sauvages,

L’arc-en-ciel embellit le paysage

Avec la route sans fin

Ou presque quand arrive le dernier poteau.

La trahison continue du sauvage libéralisme

Nous conduit à un nouveau fascisme

Qui ne dit pas son mot

Et dort l’Homme, il ne perçoit pas les maux,

Pourtant chaque jour, un peu de liberté s’évade

Et l’Homme continue ses aubades!

Quand, enfin aura-t-il compris

Décideurs, banquiers, politiques ne font que mentir,

Et comme des rats fuyant le navire,

Ils se préparent à déguerpir

Laissant à l’Homme à en payer le prix.

C’est une réalité nous sautant aux yeux,

Les nantis, les marionnettes dirigeantes, se prennent pour des Dieux

Sur le mont Olympe

Et loin de faire comme eux, ils n’écoutent pas les plaintes

Des hommes, on fait semblant, et un os à ronger

Pour les ménager avant de déménager.

Les rats quittent le navire, c’est connu de tous

Et déjà ces nantis font la destruction du monde

Et acquièrent des terres pour s’abriter de ceux du dessous

Oubliant, ou pas, retardant, s’isolant de la fronde

Rien , ils n’y échapperont pas, eux aussi, ces poltrons,

Disparaîtront de l’Orange bleue devenu un gros étron.

Ils vont regretter les temps où ceux d’en bas étaient leurs esclaves

Eux,   coincés dans leur enclave.

Ces derniers des Mohicans qui se prétendent humains

Pleureront, mais un peu tard, sur le lendemain.

B.Cauvin@15/11/2019

 

 

 

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C
Une révolte adolescente (c'est un compliment) avec la rage et l'excès de la jeunesse du coeur qui rêve de justice.
M
j'aime bien ton poème mais il en faut des banquiers, des décideurs des politiques pour nous gouverner. Même s'il y en a beaucoup, ils ne sont pas tous pourris. Bisous
C
Très, très bon texte ! <br /> Bonne journée !