Automne
Après les vacances d'été...attendre les prochaines...un long silence pour les amours d'été!!!
Pensée du jour
Pour savoir si l'eau d'un bol est chaude ou froide, il faut y mettre le doigt... Il ne sert à rien de discuter.
Koan Zen
Automne
Septembre....par Olivier Gallis
Que c'est bon!!!
Hum! les rg doivent avoir des lunettes rétrécissantes... Si 4500 participants à la Biennale de la danse ne ce multiplies que par 4 je me faits couper les c......s, le multiplicateur est à 2 chiffres c'est sur! la désinformation est reine en ce pays!
ce matin, je pars de la maison un peu avant 10h direction Montplaisir, pour la manif, je l'immortalise grandement!
11h45 la queue du dragon frémit, je me décide à descendre vers la tête du cortège, ramenant des souvenirs sur le "pellicule" 12h45 je ne touche pas la tête du dragon... mais sur la place Bellecour elle est arrivée, petit à petit le corps ce fait dévorer par elle. Toutes organisations syndicales sont présentent, les partis de gauche aussi...oui plus de 40000 dans la rue... Des papas et des mamans avec enfants sont là...
Ma fois, souvenirs de manifs passées, la musique à bien changé, du Johnny, du Blues, du reggae, les temps changent... et c'est bien mieux comme cela...
Florilège de photos...
Autour de la manif!
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Nicolas... si tu entends le peuple... casses toi!
Pensée du jour
Ce qui te manque, cherche-le dans ce que tu as.
Koan zen
L'automne vient d'ouvrir ces portes
Premier jour de l'automne, les hirondelles alignées sur les fils électrique, la montagne qui ce pare de mille couleurs,
pour ce premier jour, où les portes de l'automne ce sont ouvertes, un hommage a un grand de la chanson....
by Jean Ferrat
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés
Depuis longtemps ils en rêvaient
De la ville et de ses secrets
Du formica et du ciné
Les vieux ça n'était pas original
Quand ils s'essuyaient machinal
D'un revers de manche les lèvres
Mais ils savaient tous à propos
Tuer la caille ou le perdreau
Et manger la tomme de chèvre
Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?
Avec leurs mains dessus leurs têtes
Ils avaient monté des murettes
Jusqu'au sommet de la colline
Qu'importent les jours les années
Ils avaient tous l'âme bien née
Noueuse comme un pied de vigne
Les vignes elles courent dans la forêt
Le vin ne sera plus tiré
C'était une horrible piquette
Mais il faisait des centenaires
A ne plus que savoir en faire
S'il ne vous tournait pas la tête
Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?
Deux chèvres et puis quelques moutons
Une année bonne et l'autre non
Et sans vacances et sans sorties
Les filles veulent aller au bal
Il n'y a rien de plus normal
Que de vouloir vivre sa vie
Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires
De quoi attendre sans s'en faire
Que l'heure de la retraite sonne
Il faut savoir ce que l'on aime
Et rentrer dans son H.L.M.
Manger du poulet aux hormones
Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?
Pensée du jour
Quel était votre visage avant la naissance de vos parents ?
Koan Zen
C'est encore l'été...
Demain l'automne, Georges nous compte le 22 septembre.....
by Georges Brassens
Et, depuis, chaque année, à la date susdite,
Je mouillais mon mouchoir en souvenir de vous...
Or, nous y revoilà, mais je reste de pierre,
Plus une seule larme à me mettre aux paupières:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
On ne reverra plus au temps des feuilles mortes,
Cette âme en peine qui me ressemble et qui porte
Le deuil de chaque feuille en souvenir de vous...
Que le brave Prévert et ses escargots veuillent
Bien se passer de moi pour enterrer les feuilles:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Jadis, ouvrant mes bras comme une paire d'ailes,
Je montais jusqu'au ciel pour suivre l'hirondelle
Et me rompais les os en souvenir de vous...
Le complexe d'Icare à présent m'abandonne,
L'hirondelle en partant ne fera plus l'automne:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Pieusement noué d'un bout de vos dentelles,
J'avais, sur ma fenêtre, un bouquet d'immortelles
Que j'arrosais de pleurs en souvenir de vous...
Je m'en vais les offrir au premier mort qui passe,
Les regrets éternels à présent me dépassent:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Désormais, le petit bout de coeur qui me reste
Ne traversera plus l'équinoxe funeste
En battant la breloque en souvenir de vous...
Il a craché sa flamme et ses cendres s'éteignent,
A peine y pourrait-on rôtir quatre châtaignes:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Et c'est triste de n'être plus triste sans vous
Pensée du jour
Qui excelle au tir ne touche pas le centre de la cible
Koan Zen