main assassine
Main assassine.
Le printemps frappe à nos portes,
Il ce veut jeune, beau et vigoureux,
Il chante l'amour, le verdeur qui nous transporte,
Il nous rend Joyeux, heureux,
Pourtant, les feuilles de l'automne tombent, bien que nouvelle pousse,
Au sortir de l'hiver, le sabre macabre de sève éclabousse,
L'ignoble sort de son terrier toujours aveuglé,
De sa terreur, ce mit à Beuglé,
Râ ce voulait réconfortant, chaleureux,
Il pleur ses jeunes pousses meurtries d'une main loin du preux,
Le printemps ce veux rayonnant, vivant, sa chaleur aurifère,
Il cri sa douleur, à l'imposture mortifère,
Il devrait être celui de l'amour,
Le voilà porteur de désamour,
Froid en ces jours,
Donnant des ailes d'anges à ces petits amours.
Glacée est la sève de la vie ,
Figée par celui qui la ravit.
Désespoir au porte du printemps par l'infernal,
Main assassine, arme hivernal.
Covix-lyon@19/03/2012