l'aventure (suite)

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     Les terriens ne répondirent pas à cette menace, cela déconcerta la meute, puis elle repris son avance vers la muraille renouvelant ses attaques, Georges ce dit qu’un tir de semonce en l’air pourrait être dissuasif, il en fit part à ces compagnons et ce tenant prêt à recevoir l’instruction qui fallait. Le mot jailli de sa bouche et une salve à blanc partie en l’air dans une détonation fracassante, les ombres cessèrent d’avancer, grognèrent et  s’éloignèrent. Georges avait vu juste, toutefois il fallait être prudent, la forêt engloutie ces étranges personnages dont ils venaient de faire connaissance d’une drôle de façon, cela les inquiétaient. Eric qui suivait leur mouvement fit par de la disparition total des ombres, tout ce petit monde resta encore un long moment à commenter la situation, finalement Georges demanda à l’équipe de ce retirer. Il resta près d’Eric, prit les jumelles et ce lança dans une observation, plus de trace des autochtones, il rendit l’appareil à Eric qui examina l’horizon, rien. Georges prit la main d’Eric, la serra fortement, il colla son corps contre celui de son amant, son souffle chaud tombait sur le cou, qu’il couvrit de baiser, Éric pivota et enlaça Georges, leur regard planté l’un en l’autre, les bouches tendrement ce rapprochaient jusqu’à l’union de celles ci, la fougue amoureuse s’empara d’eux. Les corps ce dénudèrent dans un plaisir charnel, une fusion enragée, que les vibrations de la palissade renvoyaient. Leurs corps s’envolaient au delà du monde rée pour aller dans les nuages de l’Éden.

        Après cette extase de leur union, Georges regagna le poste central, Thomas l’attendait, il fallait faire une incursion dans cette forêt.

-       Utilisons les navettes pour survoler la zone et tirer des plans de cette dernière et découvrir leurs habitations, dit Thomas

-       Oui c’est une idée, mais pas d’attaque, juste une éventuelle riposte pour que ces choses aient peur.

-       Georges, Thomas……venez vîtes voir….. c’est hallucinant !

    Les deux hommes courraient vers le poste de garde et tout essoufflés ils arrivent sur le plateau de la tour. Ils restèrent figé, sur leurs visages ce lisait la stupeur, dans un pré libre de tout animal, ce tenait un groupe d’individus debout, marchant vers eux.

-       Pas possible, dit Georges

-       Incroyable reprit Thomas

-       Extraordinaire surenchérit Eric.


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